De mois en mois, l’Alliance syndicaliste élargit le cadre de ses contacts vers la création d’une véritable internationale syndicaliste révolutionnaire. Par l’intermédiaire de « Solidarité ouvrière », nous faisons entendre la voix du syndicalisme libertaire, et prouvons une fois de plus, par la pratique, que le syndicalisme révolutionnaire et l’anarcho-syndicalisme ne sont pas morts.
Nous avons reçu une lettre de Barcelone, datée du 23 juillet 1971 :
« Aux amis de l’Alliance syndicaliste, nous leur disons que « Solidarité ouvrière » a été extrêmement appréciée par nos amis et compagnons de Barcelone, et que les idées qui vous guident leur paraît les plus adéquates pour parvenir à l’objectif syndicaliste révolutionnaire que vous voulez atteindre. Il est dommage qu’ici peu d’entre nous puissent lire le français ; cependant, comme certains d’entre nous peuvent le lire, ils transmettent aux autres le contenu du journal et les orientations qui y sont contenues. »
(Barcelone, le 23 juillet 1971.)