Aujourd’hui, le numéro 12 de la Vie Ouvrière. Nous voyons se conclure la série d’articles de Merrheim sur ‘l’affaire de l’Ouenza”, qui nous montre qu’au point de vue capitaliste, plus ça change, plus c’est la même chose.
Heureusement, Paul Ader est là pour nous réconforter avec un petit coup de rouge… Et en fait, non, lui non plus, puisqu’il nous raconte l’organisation des pinardiers du Midi.
Ne nous reste plus que le “Bureau Socialiste International”, encore raté. On se rattrapera avec le Congrès du Bâtiment, faute de mieux.
Bref, un bon numéro d’une revue (je me répète) qui est l’exemple même de l’excellence syndicale.
Bonne lecture