Et nous retrouvons le jeune Charles et sa vie de bambin aux hormones tapageuses qui assiste à la fin du siège de Paris.
Le lecteur cynique constatera que “plus ça change, plus c’est la même chose : incurie des “puissants”, manœuvres politiciennes quelque soit la gravité de la situation et mentalité sordide à tous les échelons de la population : la France éternelle dans ce qu’elle a de meilleur.
Ceci dit, ce n’est pas non plus le chapitre le plus intéressant de ces souvenirs, comme je les découvre plus ou moins en même temps que vous, j’espère que la suite sera un peu plus croustillante.