La Presse Anarchiste

Puisque c’est ça, je me retire comme un prince !

Aujourd’hui, place à la joie saine d’une bonne petite crise d’ego : Les Plé­béiennes de Sébas­tien Faure.

Sebast’ n’est pas content, les gens sont méchants, il se retire dans sa grotte et nous dis­pense, à nous pauvres mor­tels avides de ses lumières, la douce parole reflet du flot tumul­tueux de sa pen­sée de géant…

Pas de chance, les gens sont vrai­ment méchants… À l’époque presque tout le monde s’est légè­re­ment fou­tu de lui et de ses pré­ten­tions. Il ne devait plus jamais retour­ner dans une grotte.

Plus sérieu­se­ment, le conte­nu n’est pas superbe, mais c’est tout de même du Faure, donc on res­pecte et on se rac­croche en pen­sant au reste de son œuvre.

Bonne lec­ture

Vincent Dubuc


dans

La Presse Anarchiste