Nouveau jour, nouveaux textes. N’en prenez pas l’habitude, ça ralentira bientôt.
Aujourd’hui, le troisième des suppléments à l’Unique, consacré à la mémoire de Manuel Devaldès. Pour être franc, je connais assez peu Devaldès. En fait, je n’en connais que ses longues suites d’aphorisme que je trouve d’un pédantisme absolu : tout ce qui me saoule dans l’individualisme donneur de leçon.
Ceci dit, il y a une autre partie de son travail que j’ai entraperçue (sans jamais avoir le courage de m’y plonger) qui semble valoir le détour. Alors, ce petit opuscule vous donnera peut-être à vous aussi l’envie de creuser la question (et si vous êtes comme moi, il vous donnera aussi l’envie de fuir dès que l’on évoquera devant vous les noms de Lacaze-Duthiers et Han Ryner…).
Et enfin, pour finir… je conseille vivement à celles qui fréquentent ce site d’aller lire l’article dudit Devaldès : « L’athée a‑t-il le droit d’empêcher sa femme d’aller à l’église ? »… Rien que le titre a de quoi refiler de l’urticaire, mais c’est aussi un signe d’espoir qui permet de se dire que l’avant-garde d’aujourd’hui sera toujours l’arrière-garde de demain.
Sinon ? C’est l’été, il est temps de se mettre au vert.
Bonne lecture
Vincent Dubuc