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Ah ! La glorieuse armée française, jamais aussi efficace que quand il s’agit de massacrer ses propres citoyens… Tradition de haute antiquité, jamais démentie et aujourd’hui illustré par les souvenirs sanglants du jeune Charles.
Les esprits chagrins – qui ne fréquentent sans doute pas trop ce site – trouveront sans doute que j’exagère. Après tout, quelque part, au fond du Vaucluse ou de la Mayenne, existe-t-il un officier subalterne quelconque qui hésiterait peut-être une ou deux seconde à trucider un gosse si sa hiérarchie lui demandait. Mais que voulez-vous, même la meilleure des institutions ne peut se préserver complètement des brebis galeuses.
Quoi qu’il en soit, Charles et sa famille sauvent leur peau et c’est peut-être le seul point positif de ce chapitre.
Bonne lecture.
Vincent Dubuc