Dédié aux « spirituels » magistrats de nos tribunaux.
Bourreaux au cœur mesquin. Oh ! vous qui vous targuez
De nous juger sans haine. Pendant que vous parez
Vos fausses lois d’airain d’un langage châtié,
Nous songeons à la vie, au rythme harmonieux
Toujours si simple et juste. Nos songeons, ô ! Nature
À tes lois sans vain code ignorant la torture
De juges assez sadiques pour être facétieux.
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