Catégorie : Défense de l'Homme 1950 (numéros 16 à 27)
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Défense de l’Homme n°19
Avril 1950
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De la liberté de la presse (2) Occasions favorables et notins pratiques
I. Deux questions connexes au problème Sous le titre : « Détruire les biens ou supprimer la liberté n’est pas le bon moyen de les mieux répartir », j’ai examiné, dans le dernier numéro de Défense de l’Homme, un aspect du problème de la liberté de la presse, tel que le peuvent envisager les esprits dégagés de préjugés,…
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Défense de l’Homme n°27
Décembre 1950
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De la liberté de la presse (1) Détruire les biens ou supprimer la liberté n’est pas le bon moyen de les mieux répartir
I. Évènements et commentaires Parmi les libertés constitutionnelles dont il est fier, et conscient d’être redevable à ses « grands ancêtres », l’homme de la rue est enclin à considérer la liberté de la presse comme la plus essentielle et la plus représentative. Il dit : — La république a eu ceci de bon, qu’elle a reconnu à chacun le…
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Défense de l’Homme n°26
Novembre 1950
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Défense de l’Homme n°25
Octobre 1950
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Ombres et lumières chinoises
C’est une grave question que la question de l’Extrême-Orient, en ce siècle qui semble bien devoir être celui du réveil de l’Asie. Il peut paraître bien téméraire, celui qui en ose discuter avec de simples données livresques et journalistiques, sans avoir jamais navigué au delà de la Méditerranée ; et cependant, à qui se fier pour…
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Le sacrifice
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Où il faut reparler de Mr. Troachoum
Le directeur de notre revue m’avait longuement préparé à l’éventualité de cette polémique, laissant percer par là son appréhension de m’y voir livrer avec trop de passion ; en quoi cette réponse qu’il me permet d’y apporter à mes bienveillants interpellateurs le rassurera certainement. C’est qu’en effet je professe que, de même qu’il n’est point nécessaire…
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Défense de la poésie éternelle et moderne
Il est assez triste de constater que l’expérience poétique des quarante dernières années ait encore si peu d’influence et n’ait pas pénétré plus profondément, non seulement les masses, mais toute une partie des milieux dits « intellectuels ». La faute n’en est pourtant pas aux poètes. Il faut honnêtement reconnaître que seule la poésie de mirliton a…