Si vous tenez à savoir comment démarre financièrement cette revue. Tout simplement, sans un sou d’avance. Avec seulement 100 000 francs que des amis m’ont prêtés et dont voici les noms : Jean Dellis, Campanella, Synaeve, Tutkovits, Marie-Louise Bréhéret, Voeltzel, René Vianez. Ma compagne et moi avons ajouté 50 000 francs à cette somme. C’est tout.
En outre, l’imprimeur est disposé à me faire crédit de deux numéros en cas de besoin.
C’est plus qu’il n’en faut pour réussir.