Notre revue ne pourra jamais suivre l’actualité de très près. Ne paraissant qu’une fois par mois, DÉFENSE DE L’HOMME n’a pas la prétention d’égaler en informations la presse quotidienne ou hebdomadaire.
Au moment de « boucler » les pages et de signer le bon à tirer, les mineurs en grève paraissent vouloir se rebiffer et ne pas subir les assauts des policiers les mains dans les poches.
Qui oserait les en blâmer ?
Pas nous, assurément. Et nous avouons ne pas trouver de mouchoir, comme aurait dit le bon poète beauceron, pour pleurer les victimes du « devoir ».
Il nous reste à souhaiter que les mineurs l’emportent et arrachent de substantielles satisfactions. Mais qu’ils se méfient de la politique et prennent garde aux politiciens aventuriers.